L’incidence du mauvais temps sur l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement peut se traduire de différentes façons : la pluie peut empêcher le chargement d’un navire, un froid extrême peut nous obliger à réduire la longueur des trains, ou encore un temps pluvieux peut retarder les récoltes et affecter la qualité des produits récoltés. Les activités ferroviaires et agricoles peuvent toutes deux être affectées par les intempéries.
Que ce soit les chutes de neige hâtives nuisant aux activités de récolte ou les très basses températures ayant sévi dans les Prairies au début de février (comme en fait foi cet article récent paru dans le Western Producer, disponible en anglais seulement), cet hiver a apporté son lot de défis pour tous les intervenants de la chaîne d’approvisionnement, dont les cultivateurs, les entreprises céréalières, les silos de collecte, les chemins de fer, les exploitants portuaires et l’équipage des navires. Grâce à la collaboration et au travail d’équipe ainsi qu’à la compréhension mutuelle, nous avons été en mesure de soutenir la chaîne d’approvisionnement, et malgré les embûches que le CN a dû surmonter pendant cette campagne agricole, il a pu soutenir un rythme record dans ses livraisons de céréales de l’Ouest du Canada.